Supervision IT Open Source


Etant donné les circonstances je vais me permettre de partagez avec vous ,certains outils de supervision open source ,bien que les opérateurs télécoms offrent de meilleures plateforme dédié pour leurs équipements ,d’autres développe des solutions complémentaires pour minimisez leur factures d’achat de solutions de supervisions  .

dans mon cas : IBM Netvoli Netview (avec license) ,TNMS de Siemens (avec license) , SnmpC 4 avec license , SolarWinds (Piraté)

Ma première expérience s’est orienté au debut par la solution la plus connu de Tous qui s’appelle Nagios .

Nagios (anciennement appelé Netsaint) est une application permettant la surveillance système et réseau. Elle surveille les hôtes et services spécifiés, alertant lorsque les systèmes vont mal et quand ils vont mieux. C’est un logiciel libre sous licence GPL.

C’est un programme modulaire qui se décompose en trois parties :

  1. Le moteur de l’application qui vient ordonnancer les tâches de supervision.
  2. L’interface web, qui permet d’avoir une vue d’ensemble du système d’information et des possibles anomalies.
  3. Les plugins, une centaine de mini programmes que l’on peut compléter en fonction des besoins de chacun pour superviser chaque service ou ressource disponible sur l’ensemble des ordinateurs ou éléments réseaux du SI.

La deuxièmement expérience a était Cacti pour la gestion SLA .

Open SLA

Équivalent de base Munin ou MRTG .

Cette Solution bien sur a était implanté sous la Distribution Ubuntu . Merci a la Communauté Tunisienne et française pour son soutien .
ce lien vous donnera plus de détails sur l’installation . le lien

La Troisième expérience : FAN Fully Automated Nagios

FAN stands for « Fully Automated Nagios ». FAN goals are to provide a Nagios installation including most tools provided by the Nagios Community. FAN provides a CDRom image in the standard ISO format, making it easy to easilly install a Nagios server.
Added to this, a wide bunch of tools are including to the distribution, in order to improve the user experience around Nagios.

Une compilation bien rempli qui facilite aux etudiants de mettre en place un systeme de supervision et de monitoring et la gestion des SLA (Service level agrement ) deja discuté sur le blog .

FAN is based on a minimal CentOS. Added to this, all other CentOS packages are still available, once FAN is installed, so that you keep all advantages of CentOS along with Nagios and other tools facilities since they are preinstalled and configured for you.

Software provided

Here is the list of tools provided by FAN:

  • Nagios: Core monitoring application
  • Nagios plugins: plugins to monitor servers
  • Centreon: web frontend for Nagios (Centreon is one of the better tools for that!)
  • NagVis: a great tools for configuring maps
  • NDOUtils: Nagios module to store monitoring data in MySQL
  • NRPE: the check_nrpe plugin (NRPE daemon is not provided)
  • NaReTo (Nagios Reporting Tools): a great tool for getting availabilty report

la Quatrieme Experience : EON

EyesOfNetwork, encore appelé EON, (pour faire classe dans les salons vous pouvez prononcer ï-aune :P ) est une distribution Linux crée pour être une appliance logiciel orienté supervision ITIL. Cette application se veut simple, pragmatique et utile.

Autrement dit, 99,9% de son administration/utilisation se fait via le Web et vous n’avez pas besoin d’être expert en solution Libre et autres linuxerie shello-hèssehèssehacho-perlienne pour l’utiliser.

EyesOfNetwork est accessible via une interface Web unique dont l’objectif est de réunir les différents acteurs d’un système d’informations (DSI, Administrateurs, Techniciens, Opérateurs, …). Chacun des ces acteurs dispose d’une vue correspondant à son métier.Toutes les informations sont consolidées en Base de Données MYSQL ou BERKELEY.

EyesOfNetwork est un produit sous licence GPL2 sponsorisé et proposé par APX dans le cadre de prestations de services (Intégration, Télé-service, Support téléphonique et Tierce Maintenance Applicative).

Téléchargement ….


La dernière Experience de cette année est OpenNMS …


http://www.opennms.org/wiki/Main_Page

L’application OpenNMS a été créée par Day One en tant que solution de gestion de réseaux destinée aux entreprises, et a été développée selon le modèle open 


Maintenant je vous laisse le choix chers Etudiants ou professionnels du métier a travaillez sur une solution qui vous rapproche le plus les uns des autres sinon ca va etre comme ca .

Bonne lecture .

la Morale : Mac pour le graphisme Palm pour la mobilité Windows pour le solitaire

Des régulateurs des TIC du monde entier comparent leurs conceptions respectives des réseaux et services de demain


L’accès ubiquitaire au large bande, devenant la norme, l’UIT exhorte les pouvoirs publics à faire des choix éclairés qui favorisent le déploiement, l’innovation et des prix abordables

Beyrouth, le 12 novembre 2009 — Les délégués au 9ème Colloque mondial des régulateurs de l’UIT (tenu du 10 au 12 novembre) ont souligné la nécessité urgente, pour les pouvoirs publics, d’ouvrir les marchés à une plus grande concurrence et d’avoir recours à des mesures d’incitation, afin d’encourager les investissements dans les réseaux large bande, qui sont en passe de devenir l’élément vital de l’économie du savoir.

Le Colloque, qui s’est tenu en présence de 648 participants de 89 pays, s’est efforcé de dégager une vision et une compréhension communes des nombreux problèmes auxquels sont confrontés aujourd’hui les régulateurs des TIC, sur des marchés issus de la convergence de plus en plus complexes.

« Les résultats de cette édition du GSR sont les meilleurs que nous ayons jamais obtenus, qu’il s’agisse du nombre de participants ou de la qualité et de l’intérêt des débats auxquels nous avons assisté au cours des trois derniers jours. Cela atteste du rôle déterminant que jouent aujourd’hui les régulateurs pour définir l’orientation future des marchés qui se caractérisent par des progrès technologiques rapides et par une concurrence toujours plus complexe et en mutation constante » a déclaré le

Secrétaire général, Dr Hamadoun Touré.

la suite du sujet ici …

le document en français PDF

Woozweb Un Service de Monitoring Sous Linux


Bonjour , bien que je suis l’évolution de chaque site de mes lecteurs  et mon absence est d’ordre professionnel ,je vous fais part d’une application sur le web intéressante bien sur sous open source . Pour ma part je suis passé par Nagios deja en production .

je resume:

Monitoring

Monitoring

Woozweb est à la fois un observatoire du web et un service de monitoring. En tant qu’observatoire du web, Woozweb recueille une grande quantité d’information concernant les sites significatifs de l’internet français, les analyse et les met à disposition des personnes intéressées.

Woozweb permet de surveiller 5 sites gratuitement et d’obtenir des informations très intéressantes, comme le fameux temps de téléchargement complet de votre page, la disponibilité.

Ce service fournit des graphes de performances, mais permet également d’envoyer des alertes en cas d’indisponibilité ou si une chaine de caractère n’est pas retrouvée…

Woozweb réalise deux types de monitoring :
un monitoring haute-fréquence et un monitoring basse fréquence. Le monitoring haute fréquence est opéré à intervalle de 15 minutes. Le monitoring basse fréquence est opéré de manière hebdomadaire.

je vous laisse découvrir le site ,bon Test .

Mon Zala Netbook N270 devient un IDS Wifi .


C’est plus difficile pour moi de jouer en trichant. J’aimerais mieux jouer avec du jeu.

Kismet est un logiciel libre de détecteur de réseau, un sniffeur, et un système de détection d’intrusion pour réseau sans fil 802.11. Kismet fonctionne avec les cartes réseau qui supportent le mode moniteur, et tout protocole 802.11 (802.11a, 802.11b et 802.11g). Il fonctionne sous Linux (la plateforme la plus riche en pilotes utilisables par Kismet), FreeBSD, NetBSD, OpenBSD, et Mac OS X. Le client Kismet peut aussi tourner sur Windows, mais soit avec des drones externes, soit avec l’unique modèle de carte pour lequel il existe un pilote capable de faire du mode moniteur.

Source Wikipedia.
je vous laisse  lire le wiki .

Finalement je me décide a restez sur la même longueur d’onde que mon Netbook N270 Zala au démarrage du BIOS.

Installation de Kismet et exploitation :

La version installée correspond à la version 2008-05-R1.

# cd /usr/local/src
# wget http://www.kismetwireless.net/code/kismet-2008-05-R1.tar.gz
# tar xzvf kismet-2008-05-R1.tar.gz
# cd kismet-2008-05-R1
# ./configure
# make && make install

Paramétrage

Ce paramétrage est indispensable. Tant qu’il n’aura pas été effectué, vous ne pourrez pas accéder à Kismet.
Accédez au fichier de configuration de kismet :

# sudo mcedit /usr/local/etc/kismet.conf

Et modifiez-le comme suit :

---
Ligne 13 : Renseigner l'utilisateur courant en tant que suiduser :
suiduser=votre user
---
Ligne 27 : Modifiez les sources comme suit (à adapter en fct
 de votre envt) :
source=iwl3945,wlan0,iwl3945
---

Utilisation

---
ATTENTION : Si vous possédez une carte qui ne cumule pas les modes
 "Managed" et "Monitor", vous devez switcher en mode "Monitor" :
 # modprobe -r iwl3945
 # modprobe iwl3945
puis activer l'interface wifi0
 # airmon-ng start wlan0
---

Pour lancer Kismet, entrez simplement la commande suivante :

# kismet.
Résultat :

IDS Wifi

IDS Wifi

S pour avoir le menu et kismet_ui pour le design et le contenu . cet exemple me sert dans le domaine professionnel , independament des solution professionnelle offerte par les constructeurs Cisco Aironet,Siemens,etc .... une autre solution qui suit est Bien Kismac destinée au MacOS . Ah je reste optimiste a mettre en test la solution ChilliHotspot qui me tente .je n'es pas un WRT sous la main. Merci Linus.

Chrome OS : Acer, Asus, HP, Lenovo et Toshiba partenaires de Google


on vous regarde

on vous regarde

Chrome OS : Acer, Asus, HP, Lenovo et Toshiba partenaires de Google

Google a livré une liste sur laquelle figurent des grands noms de l’industrie informatique qui travaillent déjà sur de nouveaux produits basés sur Chrome OS.

Dès le lendemain de l’annonce de Chrome OS, Google s’est empressé d’enfoncer le clou en citant une liste de partenaires parmi lesquels quelques poids lourds du secteur que sont Adobe, ASUS, Freescale, HP, Lenovo, Qualcomm, Texas Instruments, et Toshiba.

Toutes ces compagnies travaillent déjà à la mise au point de produits basés sur Chrome OS. Deux absents de taille, Dell et Intel, n’ont pas encore pris position. Ce qui ne présage en rien de leur intérêt pour l’OS de Google.

La firme de Mountain View a en outre précisé que Chrome OS sera bien gratuit puisqu’open source et basé sur un noyau Linux. Par ailleurs, Google a lancé un appel à candidature pour des postes de développeurs dans plusieurs pays dont l’Angleterre, le Canada, le Danemark, les Etats-Unis, le Japon et la Russie. (Eureka Presse).

2-gos

gOS et Cloud 1.0 : Wine et raccourcis Google Apps

gOS, désormais à la version 3, s’est fait connaître en équipant le gPC, un ordinateur à bas prix vendu dans les rayons de Wal-Mart. Le constructeur Everex a par la suite lancé le gBook et le gMini. gOS est un système d’exploitation basé sur la distribution Ubuntu. gOS présente plusieurs caractéristiques communes à celles annoncées par Google pour Chrome OS.

Le bureau (sous Gnome) embarque en effet de nombreux raccourcis vers des applications Web de Google : Gmail, Calendar, Documents… Pour permettre l’utilisation sur la machine de logiciels Windows, gOS dispose d’une version préinstallée de l’émulateur Wine. Pour la création de widgets, l’OS s’appuie sur Mozilla Prism. gOS peut être téléchargé pour installation ou utilisé en live CD.

Mais l’éditeur de cette distribution Linux travaille également à un nouveau projet qui devance lui aussi Chrome OS : Cloud 1.0. Les détails sont rares pour le moment. L’application se présente comme optimisée pour les netbooks, et comme la combinaison d’un navigateur et d’un OS. Cloud se destine aux terminaux (processeur x86, 128Mo de RAM et 35Mo d’espace disque) à usage purement Web.

(ZDnet 09 juillet 2009)

La Chine, nouvelle Terre promise de l’open source


Sondage Algérie

Nouveaux ou Anciens sur la Toile Votre avis nous Interresse

Réservé aux Algériens alors si vous êtes unis sur  la Toile

Vote jusqu’au 31/08/2009

vous pouvez voir les résultats aprés vote

L‘éditeur Actuate vient de publier la quatrième édition de son étude annuelle consacrée à l’adoption de l’open source, réalisée par le cabinet Survey Interactive. Elle synthétise les réponses de professionnels de l’informatique des secteurs financier, public et industriel.

01 Net Dossiers  Stratégies :

Pour la première fois, les enquêteurs ont couvert le marché chinois, en plus de la France, de l’Allemagne, du Royaume-Uni et de l’Amérique du Nord. Les résultats sont sans ambiguïté : la Chine est de loin le plus grand utilisateur de logiciels open source, avec un taux de pénétration de 80,3 %. Le principal moteur de l’adoption est la suppression des coûts de licence.

Outre-Atlantique, seuls 41 % des professionnels recourent à l’open source

En Europe, le bon élève est la France ,qui détient le plus haut niveau d’adoption de l’Ancien Monde, à 67 %, suivi de l‘Allemagne (60,6 %) et du Royaume-Uni (42,1 %). En Amérique du Nord, seuls 41 % des professionnels utilisent des logiciels open source. Toutefois, la tendance est à l’augmentation. Outre-Atlantique, presque 57 % des professionnels interrogés estiment que les logiciels open source ont plus d’avantages que d’inconvénients.

Sauf si vous comprenez chinois et avec le meme nombre d’habitants sans parlez de nombres d’internautes

Je vous joins ce triple sondage  concernant environnements utilisés  OS , navigateurs , antivirus ,Nouveaux ou anciens sur la Toile  Prenez le temps de donnez votre avis sur le sondage ca peut servir pour d’autres pas pour de l’argent ,un simple Etudiant pas un expert  ils font peur aux autres en Algerie , 😉 afin de voir ensemble ou  mettre en place des vrais acteurs soit en open source ou close source  et avec de vrais consommateurs Algeriens et offrir les vrais outils de communications .

Ce n’est pas de la démocratie c’est une Obligation

Un Os on Line


fsss4

http://eyeos.org/

Fonctionnalités d’eyeOS

Gestion des fichiers :

*             Téléversement de fichiers multiples

*             Gestion visuelle des fichiers

*             Téléversement de dossiers entiers en archive ZIP

*             Compression et décompression d’archives ZIP et TAR

*             Visualisation de photos et de diaporamas

Gestion des informations personnelles :

*             Calendrier a vues multiples

*             Gestion des contacts

*             Export et import de vCards

Système:

*             Installateur de paquets

*             Dépôts de logiciels

*             Système de contrôle pour les utilisateurs et les groupes

*             Multiples instances des applications

Bureautique :

*             Traitement de texte

*             Tableur / Chiffrier

*             Présentations

*             Support des fichiers MS Office et OpenOffice

Réseau d’utilisateurs :

*             Système de messagerie interne

*             Panneau d’affichage

*             Client FTP avec proxy

*             Lecteur de flux RSS

Bureau :

*             Applications tierces

*             Lancement automatique des applications nécessaires

*             Traductions

*             Choix des thèmes

QoS pour Quality of Service ou Qualité de service en français


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QoS pour Quality of Service ou qualité de service en français est un terme très à la mode en ce moment. Ce terme est utilisé à tout va comme gage de performance pour pratiquement tous les domaines, alors qu’il définit un principe bien précis. QoS est intimement lié à la gestion de trafic réseau. Il désigne un ensemble de paramètres permettant d’assurer la qualité d’un service réseau. Habituellement, il s’agit de vitesse et de temps de réponse concernant des objets précis.

Pourquoi donc attacher tant d’importance au fait de privilégier certains services plutôt que d’autres, alors que, somme toute, la liaison réseau est la même ? En fait, la démarche originelle et la source de cette nouvelle obsession est commerciale. En effet, il semblerait que la tolérence des visiteurs d’un site Web (pour ne prendre que cet exemple) soit devenue un point crucial dans la conception d’un serveur et le paramétrage réseau d’un système.

Ainsi, certaines études rapportent que la population américaine, sollicitant fortement les ressources d’Internet, utilise des critères de qualification basés presque entièrement sur la perception du site. Peu importe le contenu, les prix ou les offres, les visiteurs s’attacheraient principalement à la vitesse du site et à ses capacités à les satisfaire le plus vite possible. Le chiffre de 65% a été avancé pour estimer le nombre de transactions aboutissant à un échec. Autant dire que si les visiteurs se basent effectivement sur la responsivité d’un site, cela revient à dire que 65% des visiteurs abandonnent et ne reviendront pas sur le site en question.

Toute l’astuce consiste donc à satisfaire le client au mieux avec les ressources réseau dont on dispose. Il faut alors privilégier certains services ou certaines actions au détriment d’autres selon une politique bien réfléchie à l’avance. Ainsi, par exemple, on favorisera les connexions vers un site de vente au détriment du support technique ou au téléchargement de pilotes ou de documentations. Nous ne traiterons pas ici de la justesse de tels choix qui sont on ne peut plus marketing, l’objet de l’article étant technique et non mercantile. Pour arriver à ses fins, on utilise une technique consistant à marquer les trames IP selon des critères prédéfinis, puis à les traiter de manière différente en fonction dudit marquage : gestion QoS et routage des paquets.

Richard Matthew Stallman connu aussi sous les initiales RMS


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Richard Matthew Stallman (né à Manhattan, le 16 mars 1953), connu aussi sous les initiales RMS, est un programmeur et militant du logiciel libre. Il est à l’origine du projet GNU et de la licence publique générale GNU connue aussi sous l’acronyme GPL, qu’il a rédigée avec l’avocat Eben Moglen. Il a popularisé le terme anglais copyleft (que l’on peut traduire par « copie laissée » mais qui est au départ le fruit d’un jeu de mots avec le terme copyright,
et l’opposition « gauche d’auteur » / « droit d’auteur » ). Programmeur
renommé de la communauté informatique américaine et internationale, il
a développé de nombreux logiciels dont les plus connus des développeurs
sont l’éditeur de texte GNU Emacs, le compilateur C de GNU, le débogueur GNU mais aussi, en collaboration avec Roland McGrath, le moteur de production GNU Make.

Depuis le milieu des années 1990,
il consacre la majeure partie de son temps à la promotion du logiciel
libre auprès de divers publics un peu partout dans le monde. Depuis
quelques années, il fait campagne contre les brevets logiciels et la gestion des droits numériques
(DRM). Le temps qu’il alloue encore à la programmation est dédié à GNU
Emacs. Il gagne sa vie avec les cachets de conférencier qu’on lui donne
à l’occasion.

lien RMS : ………….

IBM et Ubuntu créent des bureaux virtuels garantis sans Microsoft.


Un Article repris de chez 01 Net ,concernant solution entreprise et Surtout l’Economie …

Fusion IBM-Ubuntu

Fusion IBM-Ubuntu

Big Blue s’associe à Canonical et à Virtual Bridges pour fournir des bureaux virtuels avec suite bureautique et messagerie entre autres. Principal argument : la réduction des coûts.

Exit Microsoft ! Voilà l’objectif de la nouvelle offre de bureaux virtuels qu’IBM vient d’annoncer. En effet, le constructeur s’est associé aux éditeurs Virtual Bridges et Canonical pour fournir une solution complète de bureaux virtuels permettant aux entreprises de court-circuiter totalement les offres bureautiques de l’éditeur de Redmond.

Techniquement, cette solution repose sur trois briques logicielles. Les bureaux virtuels des différents utilisateurs sont stockés, gérés et mis à disposition à distance au travers de serveurs équipés du logiciel Virtual Enterprise Remote Desktop Environment, de Virtual Bridges (qui édite par ailleurs Win4Lin, le célèbre émulateur Windows pour plates-formes Linux). Le système d’exploitation retenu pour les bureaux virtuels est Ubuntu Desktop de Canonical, l’une des principales distributions Linux du marché.

Accès depuis n’importe quel terminal

Quant aux applications, elles sont fournies par IBM au travers d’une offre groupée baptisée Open Collaboration Client Solution (OCCS). Au programme : une suite bureautique s’appuyant sur le format ODF (Lotus Symphony), un client de messagerie (Lotus Notes) et des outils de communication unifiée (Lotus Sametime).
Les utilisateurs peuvent accéder à leur bureau virtuel depuis n’importe quel terminal, qu’il s’agisse d’un ordinateur de bureau, d’un PC portable ou d’un client léger. Le système d’exploitation du poste client n’a pas non plus d’importance. Il peut être Windows, Linux, Mac OS X ou autre chose. Le principal argument commercial que mettent en avant les trois fournisseurs est celui du coût. « En combinant Ubuntu avec les applications OCCS d’IBM, les entreprises peuvent briser la dépendance avec Microsoft et réduire de manière significative le coût global de leur informatique », explique Malcolm Yates, vice-président de Canonical, dans un communiqué.

37 euros par mois et par utilisateur

La solution de bureau virtuel d’IBM et consorts est facturée environ 37 euros par mois et par utilisateur, pour un millier de postes. Par rapport à un parc équivalent équipé de solutions Microsoft, l’entreprise économiserait donc entre 385 et 616 euros par utilisateur en licences logicielles. Comme le bureau virtuel ne nécessite pas de terminal très puissant, l’entreprise n’aurait pas non plus à doper ses PC, comme c’est le cas avec Windows Vista et avec Office 2007. Ce qui représente une économie d’environ 220 euros par utilisateur, selon Big Blue.
Pour les mêmes raisons, les dépenses énergétiques peuvent également être revues à la baisse, soit une économie entre 46 et 167 euros. Enfin, l’hébergement centralisé du bureau permettrait de réduire les coûts d’administration entre 50 et 90 %. Ces calculs de coûts sont évidemment à prendre avec des pincettes. Mais il est certain qu’en ces temps de crise et de réduction budgétaire ce type d’argument a le vent en poupe.